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Les yeux de Mona

Nous voici pour notre avant dernière séance pour cette année scolaire face à un livre « D’ART » et «  dans l’art », un peu innatendu, peut-être, d’une extension quelque peu exhaustive, sans aucun doute impregné d’art dans le sens le plus vaste du terme. Il est écrit par un spécialiste de l’art que nous abordons pour la première fois, et grâce à la magie de la littérature, il nous a transportés dans trois musées emblématiques de la ville de Paris (Le Louvre, Le Musée d’Orsay et le Centre Pompidou/Beaubourg), prenant le rôle de guide artistique à travers 52 œuvres d’art…
C’est une œuvre dont le personnage principal est une fille de onze ans, confrontée à la menace d’une cécité cruelle. C’est une histoire de survie et de modèles de vie, avec une belle relation entre une grand-mère et sa petite-fille, une vision enfantine pour affronter les fantômes du présent mais aussi du passé… Avec tous ces ingrédients, l’auteur a construit une histoire picturale d’une grande profondeur. Voici nos impressions.

Un peu éblouis par le succès éditorial de ce roman-guide d’art et recueil de pensées philosophiques, je crois qu’il faut mettre de côté ces considérations et aborder le livre du point de vue du lecteur « lambda » qui s’approche d’une œuvre d’art…

Je considère l’épilogue du livre de la vraie littérature par rapport à tout le texte artistique , et je mets en relief une phrase que nous allons sûrement commenter


IL FAUT ALLER AU LOUVRE PAR LA NATURE ET REVENIR À LA NATURE PAR LE LOUVRE .

PAUL CEZANNE

L’auteur, a passé 52 mercredis, à faire visiter les musées les plus connus de Paris de la main d’une fillette de 11ans et de son grand-père (alter-ego de l’auteur ?) Elle avait découvert avec luis aussi 52 oeuvres pendant une année complète.
Comme vous tous, au fur et au mesure que je lisais le livre je me posais de grandes questions pédagogiques… et de caractère vital comme par exemple :

  • Le roman a été présenté comme un best-seller. L’auteur est historien de l’art et écrivain explique très bien dans cette vidéo la raison de son livre qui est reliée à un passage personnel « triste »,
  • L’art peut-il sauver une vie ?
  • Comment avons-nous appris, avez-vous appris l’histoire de l’art ? Je suis de ces élèves qui ont étudié l’art sur un gros livre plein de belles photos, où l’on a tout mis : architecture, peinture, sculpture…. et avec des diapositives… (mais j’ai beaucoup aimé le calme transparent de cette prof de l’époque..
  • Au lieu de ces sorties spontanées aux musées, ne serait-il pas mieux, depuis la plus tendre enfance, de s’approcher de la peinture (dans ce cas) petit à petit, et faire la visite des musées comme si on allait jouer dans le parc?
  • Cette idée du grand-père de Mona est originale mais aurait- elle pu être l’idée aussi d’autres grands-parents? Eux, ils nous ont « raconté » plein d’histoires … émouvantes, artistiques, sentimentales… (Nous devons beaucoup à nos grands-parents… Qu’y a-t-il autour de cette figure des grands parents? )
  • L’art, aussi bien que la musique devraient faire partie de notre « savoir humaniste » sans prétention, mais plutôt comme invitation et chemin à suivre ou à emprûnter ….
  • C’est une histoire pleine de bons et de beaux sentiments qui est devenu tout un phénomène éditorial avant sa publication en France.

Et pour finir un paragraphe de l’épilogue qui n’a pas passé inaperçu :

C’est d’ailleurs cela, l’apprentissage de l’enfance : la perte. À commencer par la perte de l’enfance elle-même .On apprend ce qu’elle était en la perdant, et on apprend qu’on perdra tout et tout le temps. On apprend que perdre est la condition indispensable de la sensation vitale, de l’intensité présente.

Les yeux de Mona, Thomas Schlesser

Voici un recueil des tableaux présentés dans l’oeuvre pour mieux accompagner sa lecture:

Et aussi quelques vidéos pour nous illustrer un peu plus à propos de ce phénomène éditorial:

Bribes de vie

Inma, la directrice de l’Atelier de Littérature Française, présente les écrivains Abdellah Baïda et Mamoun Lahbabi lors de la présentation de son livre « Trois voix pour crash » à la bibliothèque du Lycée Alpajés d’Aranjuez (Madrid).

Le premier Mars a eu lieu la rencontre littéraire avec les écrivains Abdellah Baïda et Mamoun Lahbabi, co-auteurs avec Jean Zagianaris, du recueil de trois récits « Trois voix pour un Crash ».

Une vingtaine de personnes souhaitaient connaître les “secrets” derrière ce roman original depuis sa conception, un ouvrage qui représente un véritable défi littéraire et qui nous a permis d’extraire également de nombreuses réflexions. Allons-y aux détails.

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Nos quatre voix… Pour « Trois voix… »

Nous avions dédié la séance du 9 Mars à échanger nos avis et impressions à propos du livre « Trois voix pour un Crash », un récit choral, issu de la rencontre de trois écrivains – Abdellah Baïda, jean Zaganiaris et Mamoun Lahbabi- qui ont décidé d’écrire chacun une histoire en partant du même début: un accident d’avion subi par le protagoniste, Ali. Dans un jeu capricieux avec le hasard, propice à l’imagination de ces écrivains, son destin prévisible sera définitivement altéré. Trois histoires, trois vies pour un même personnage, trois occasions de profiter d’une bonne et intelligente littérature, qui ont constitué l’une des rencontres de l’Atelier de Littérature Française les plus intenses. Nous vous proposons maintenant le contrepoint de quatre de nos amis/amies : Antonio, Begoña, Carmelo et Paqui..

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Trois voix… pour un « crush »… littéraire

« Trois voix pour un crash » 1 est la dernière aventure de quelques-uns de nos écrivains de référence: Abdellah Baïda, Jean Zaganiaris et Mamoun Lahbabi, que nous connaissons à l’Atelier depuis belle lurette et depuis de « belles lectures » et aussi de quelques rencontres littéraires qu’ils nous ont régalés par le passé.

Cette œuvre sera la protagoniste de notre prochaine lecture et nous donnera l’opportunité d’en discuter avec les auteurs lors de la rencontre littéraire qui aura lieu le premier mars au lycée “Alpajés” d’Aranjuez.

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Les multiples splendeurs de l’amour

Voici quelques commentaires à propos du livre « L’amour » de François Bégaudeau, qui a été le protagoniste sur notre table de lecture le 19 Janvier 2023. Un débat intense, comme toujours, pas seulement sur le sujet, le style littéraire mais aussi (et surtout) sur les impressions et les idées provoquées par la lecture d’un roman qui s’approche d’un sentiment qui devient le moteur des êtres humains pas si souvent qu’il le faudrait.

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L’amour, par François Bégaudeau 

Une histoire sans aucune prétention?

Un livre qui nous laissera indifférents? 

Une fois le livre lu, délaissé et repris à plusieurs reprises, le débat est servi. Vous serez peut-être surpris par cette histoire ou cette manière de raconter une histoire dont le sujet est très « sublime », ordinaire mais, à la fois, extraordinaire..

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Le 14 décembre, l’Institut Français de Madrid a accueilli la proclamation des vainqueurs de la première édition du concours bilingue (français/espagnol) de micro-histoires, auquel plusieurs membres de l’Atelier ont participé. Voici les récits qui ont été sélectionnés. Nos félicitations à tous et à l’institution qui a organisé cette belle initiative.

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Autour de « Reine de coeur » d’Akira Mizubayashi

Akira Mizubayashi frappe fortement notre esprit, et le fait avec une écriture qui distille un arôme d’épines de rose, avec des paysages musicaux douloureux. Son récit est plein de pensées cruellement décapitées et qui se déversent comme flaques de sang anonyme, au rythme des trois timbales et des violoncelles, nous aidant à digérer les cadavres.


L’auteur comprit l’air irrespirable de Marseille à l’infini, mais ne lui permit pas d’éclater et l’amour s’étendit d’ouest en est à travers une géographie flagellant, et capricieusement inhumaine, transformée peu à peu en prison irrespirable et cruelle. Les eaux des mers et des continents se couvrirent de bruits ardents meurtriers, seulement atténués de temps en temps par la musique persistante de Chostakovitch et par quelques bribes épistolaires d’inspiration amoureuse et humaniste.

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Reine de coeur, une symphonie pour l’Humanité

Le commentaire d’Antonio Rodríguez

Sur fond de Guerre Sino-japonaise et de Seconde Guerre Mondiale, Akira Mizubayashi déroule une histoire d’amour tronquée dont la culmination sera menée par les descendants des protagonistes, leurs petits-enfants, un écrivain et un artiste déterminés à sauver de l’oubli l’histoire de leurs grands-parents par l’écriture et la musique, cette dernière ayant un effet de libération et de dépassement des ravages de la guerre sur Jun, le protagoniste masculin du triangle amoureux.

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La reine de nos coeurs

Notre histoire collective à l’Atelier nous a conduit à la découverte d’un auteur que nous avons grandement apprécié lors de la lecture de son roman « Une langue venue d’ailleurs ». En effet, Akira Mizubayashi sera la prochaine étape de notre parcours littéraire lors de cette session.

C’est une merveilleuse opportunité de marier le plaisir d’une belle histoire d’amour avec celui suscité par l’écoute (au fur et à mesure de la lecture) de magnifiques pièces musicales.

Une rencontre entre des cultures et des êtres humains éloignés non seulement par l’immensité d’un océan, mais également par les terribles conséquences d’une guerre mondiale qui a marqué la fin d’une étape de l’humanité et le début d’une autre dont nous sommes encore en attente pour savoir si les promesses d’avenir qui l’accompagnent pourront résister aux allers-retours des avances en matière de droits humains.

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Notre histoire collective à l’Atelier nous a conduit à la découverte d’un auteur que nous avons grandement apprécié lors de la lecture de son roman « Une langue venue d’ailleurs ». En effet, Akira Mizubayashi sera la prochaine étape de notre parcours littéraire lors de cette session.

C’est une merveilleuse opportunité de marier le plaisir d’une belle histoire d’amour avec celui suscité par l’écoute (au fur et à mesure de la lecture) de magnifiques pièces musicales.

Une rencontre entre des cultures et des êtres humains éloignés non seulement par l’immensité d’un océan, mais également par les terribles conséquences d’une guerre mondiale qui a marqué la fin d’une étape de l’humanité et le début d’une autre dont nous sommes encore en attente pour savoir si les promesses d’avenir qui l’accompagnent pourront résister aux allers-retours des avances en matière de droits humains.

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Notre histoire collective à l’Atelier nous a conduit à la découverte d’un auteur que nous avons grandement apprécié lors de la lecture de son roman « Une langue venue d’ailleurs ». En effet, Akira Mizubayashi sera la prochaine étape de notre parcours littéraire lors de cette session.

C’est une merveilleuse opportunité de marier le plaisir d’une belle histoire d’amour avec celui suscité par l’écoute (au fur et à mesure de la lecture) de magnifiques pièces musicales.

Une rencontre entre des cultures et des êtres humains éloignés non seulement par l’immensité d’un océan, mais également par les terribles conséquences d’une guerre mondiale qui a marqué la fin d’une étape de l’humanité et le début d’une autre dont nous sommes encore en attente pour savoir si les promesses d’avenir qui l’accompagnent pourront résister aux allers-retours des avances en matière de droits humains.

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